Summary: | La période s’étalant de 1990 à 1992 a été particulièrement fertile en déclarations officielles autour du concept de développement urbain viable. En vue de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement, les autorités locales et les associations qui les représentent ont multiplié les rencontres internationales et se sont notamment engagées, en mai 1992 à Curitiba, à élaborer leurs propres Agendas 21 locaux. La Ville de Montréal, qui pourtant a joué un rôle prépondérant dans ce processus, n’a toujours pas adopté son Agenda 21 local. Un retour est d’abord proposé sur le contexte de cette époque. Le cas de Montréal fait ensuite l’objet d’une brève analyse et d’une discussion sur les difficultés de la mise en œuvre du développement viable à l’échelle locale.
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