Interview : L'essor des sciences participatives pour le suivi de la biodiversité : intérêts et limites

Les sciences participatives connaissent un essor marqué, en témoignent la session qui y a été consacrée aux IIIes Journées francophones de biologie de la conservation (Le réveil du dodo III, 17-19 mars 2009 à Montpellier) et le colloque Sciences citoyennes et biodiversité, tenu à Montpellier les 22-...

Full description

Bibliographic Details
Main Authors: M. GOSSELIN, F. GOSSELIN, R. JULLIARD
Format: Article
Language:fra
Published: Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) 2010-10-01
Series:Sciences, Eaux & Territoires
Subjects:
Online Access:https://revue-set.fr/article/view/6377
Description
Summary:Les sciences participatives connaissent un essor marqué, en témoignent la session qui y a été consacrée aux IIIes Journées francophones de biologie de la conservation (Le réveil du dodo III, 17-19 mars 2009 à Montpellier) et le colloque Sciences citoyennes et biodiversité, tenu à Montpellier les 22-23 octobre 2009. Marion et Frédéric Gosselin, ingénieure et ingénieur-chercheur du Cemagref de Nogent-sur-Vernisson en discutent ici avec Romain Julliard, chercheur au Museum d'histoire naturelle, qui pilote plusieurs programmes fondés sur la participation du public (naturalistes ou amateurs) pour la récolte de données, réunis sous l'appellation Vigie-Nature. Seront successivement abordés l'historique des sciences participatives, leurs avantages et leurs limites d'utilisation, avec un focus sur le cas de l'évaluation des politiques de conservation de la biodiversité.
ISSN:2109-3016
1775-3783