Summary: | En 1968, au terme de son exploitation dans les salles, le film La Planète des singes rapporte près de quatre fois son budget. Cela suffit à convaincre le producteur Arthur P. Jacobs de commander une suite à Pierre Boulle. Celui-ci hésite, n’ayant jamais jusqu’alors écrit pour le cinéma. Boulle finit par accepter. Le travail remis, un scénario dont la traduction compte 108 pages, s’intitule Planet of The Men. Il est refusé, sans même une tentative de réécriture, et fait cependant l’objet d’emprunts qui structurent la série de films originale. C’est ce que souhaite démontrer l’article en procédant à une étude comparative.
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