Le récit de course au temps de Victoria : une littérature de mâts de cocagne ?

Avec la naissance de l’alpinisme sportif se popularisent les récits de course, que leur modestie et minimalisme font passer pour des productions sans grand intérêt, selon les critiques initiées par John Ruskin. Mais au-delà de l’aspect factuel et descriptif, il s’agit bien d’une véritable geste et d...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Michel Tailland
Format: Article
Language:English
Published: Université du Sud Toulon-Var 2010-02-01
Series:Babel: Littératures Plurielles
Subjects:
Online Access:http://journals.openedition.org/babel/676
Description
Summary:Avec la naissance de l’alpinisme sportif se popularisent les récits de course, que leur modestie et minimalisme font passer pour des productions sans grand intérêt, selon les critiques initiées par John Ruskin. Mais au-delà de l’aspect factuel et descriptif, il s’agit bien d’une véritable geste et d’une épopée où il est question tout autant d’une histoire culturelle des élites victoriennes que de l’affirmation de la puissance impériale britannique.
ISSN:1277-7897
2263-4746