Une théorie des seuils psychométriques à double contrôle d’erreur –Partie I : l’imprécision échantillonnale des centiles

Les tests psychométriques sont appliqués à divers usages et pour différentes clientèles. Ils sont utilisés pour circonscrire la « personnalité » du répondant en obtenant un score sur chacune de quelques échelles descriptives, pour estimer l’aptitude d’une personne en vue d’une tâche et d’un rendemen...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Louis Laurencelle
Format: Article
Language:fra
Published: ADMEE-Canada 2015-01-01
Series:Mesure et Évaluation en Éducation
Subjects:
Online Access:https://doi.org/10.7202/1036764ar
Description
Summary:Les tests psychométriques sont appliqués à divers usages et pour différentes clientèles. Ils sont utilisés pour circonscrire la « personnalité » du répondant en obtenant un score sur chacune de quelques échelles descriptives, pour estimer l’aptitude d’une personne en vue d’une tâche et d’un rendement ciblés, pour repérer le risque de tentative suicidaire ou de commission d’un crime, etc. Ces tests, la plupart basés sur une échelle de mesure supposée quantitative, se caractérisent techniquement par leur fidélité, leur validité et leur appareil normatif, c’est-à-dire la norme ou les normes qui permettent au testeur de formuler un jugement comparatif à partir du score obtenu par la personne évaluée. C’est de la précision de ces normes, c’est-à-dire les seuils psychométriques ou seuils centiles, que traite le présent essai et donc, corrélativement, d’un aspect non négligeable de la valeur du jugement porté.
ISSN:0823-3993
2368-2000