Property and Perception: Husbandry in Ford Madox Ford’s No Enemy and Parade’s End
Ford Madox Ford fut petit agriculteur dans la vie et un défenseur des arts horticoles dans son œuvre. Observateur et écrivain de la nature dans des ouvrages qui furent déterminés par ses expériences lors de la première guerre mondiale, il utilise des points de vue cognitifs divers dans No Enemy et d...
Main Author: | |
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Format: | Article |
Language: | English |
Published: |
Presses Universitaires du Midi
2016-05-01
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Series: | Caliban: French Journal of English Studies |
Subjects: | |
Online Access: | https://journals.openedition.org/caliban/3403 |
Summary: | Ford Madox Ford fut petit agriculteur dans la vie et un défenseur des arts horticoles dans son œuvre. Observateur et écrivain de la nature dans des ouvrages qui furent déterminés par ses expériences lors de la première guerre mondiale, il utilise des points de vue cognitifs divers dans No Enemy et dans la tétralogie Parade's End afin de suivre les changements sociaux, politiques et psychologiques provoqués par ce conflit. Ces préoccupations sont à leur apogée dans le dernier volume, Last Post qui, selon cet article, forme une partie intégrante de sa conception. Cette analyse est construite selon deux axes : l'utilisation du genre de la pastorale et des diverses façons d'écrire la nature. Ford assujettit le motif du manoir campagnard à un examen rigoureux et subversif, examinant comment le paysage peut être possédé d'un point de vue à la fois matériel et imaginatif. Le langage qu'utilisent les personnages focalisateurs montre un changement où l'on passe de ce qui suggère le pouvoir et la possession à un style descriptif qui est plus dénotatif et plus direct. La valeur du paysage et de ses êtres vivantes est un rempart contre le désespoir et le cynisme. L'homme doit partager la planète ou périr. |
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ISSN: | 2425-6250 2431-1766 |