Au cœur de Libreville imaginaire de Peggy Lucie Auleley et Apis Ondo : Pour une géocritique de la ville cruelle postmoderne du roman urbain gabonais

Résumé: La plupart des villes du monde ont un signe distinctif immédiatement reconnaissable: pensons aux grands boulevards parisiens, aux gratte-ciel de New York ou aux églises de Rome. Mais Libreville, par ailleurs, est reconnaissable par ses matitis ou mapanes qui offrent une qualité de vie cruell...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Dacharly MAPANGOU
Format: Article
Language:English
Published: Ziglôbitha 2023-10-01
Series:Ziglôbitha
Online Access:https://www.ziglobitha.org/wp-content/uploads/2023/11/010-Art.-Dacharly-MAPANGOU-Formate-ok.pdf
Description
Summary:Résumé: La plupart des villes du monde ont un signe distinctif immédiatement reconnaissable: pensons aux grands boulevards parisiens, aux gratte-ciel de New York ou aux églises de Rome. Mais Libreville, par ailleurs, est reconnaissable par ses matitis ou mapanes qui offrent une qualité de vie cruelle à ses populations. Cet article a pour but de révéler la cruauté de la ville postmoderne à travers L’Héritière du jaspe (2012) de Peggy Lucie Auleley et Les Chiens du roi. Le King des Mapanes (2018) d’Apis Ondo. Notre analyse, effectuée à l’aide de la géocritique de Bertrand Westphal fondée sur l’espace représenté dans la dynamique du texte, se concentre sur deux formes de cruauté urbaine : la cruauté socio-spatiale et la cruauté socio-axiologique. Mots-clés : Cruauté socio-spatiale, cruauté socio-axiologique, géocritique, Libreville imaginaire, ville cruelle postmoderne
ISSN:2708-390X
2709-2836