« Le souvenir n’est qu’une maison que l’on porte dans la voix » (Alexandre Amprimoz, Bouquet de signes)

Depuis déjà plusieurs années, nous remarquons au Canada la présence d’une littérature unique en son genre, celle des auteurs italo-canadiens. En français, en anglais ou en italien, cette littérature s’est déjà frayé un chemin sûr vers une reconnaissance incontestée au niveau national aussi bien qu’i...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Sante A. Viselli
Format: Article
Language:English
Published: Association des Professeur-e-s de Français des Universités et Collèges Canadiens (APFUCC) 2015-12-01
Series:Voix Plurielles
Subjects:
Online Access:http://brock.scholarsportal.info/journals/voixplurielles/article/view/1269
Description
Summary:Depuis déjà plusieurs années, nous remarquons au Canada la présence d’une littérature unique en son genre, celle des auteurs italo-canadiens. En français, en anglais ou en italien, cette littérature s’est déjà frayé un chemin sûr vers une reconnaissance incontestée au niveau national aussi bien qu’international. Des auteurs tels que Fulvio Caccia, Antonio d’Alfonso, Marco Micone, Carole David-Fioramore, Bianca Zagolin et Alexandre Amprimoz, sont à considérer parmi les lauréats italo-canadiens, porte-parole d’une génération d’érudits cosmopolites et polyglottes. L’œuvre d’Alexandre Amprimoz est, à cet égard, un exemplum des plus marquants d’une littérature multiple et plurielle.
ISSN:1925-0614