Écrire entre les lignes : analyse secondaire des commentaires non sollicités de survivants du cancer sur la peur d’une récidive

<p class="p1"><strong>Contexte :</strong> La peur de récidive du cancer (PRC) survient couramment chez les survivants du cancer après leur traitement. La présente analyse secondaire explore les commentaires non sollicités de survivants du cancer dans le cadre d’un sondage...

Full description

Bibliographic Details
Main Authors: Jacqueline Galica, Stephanie Saunders, Kristen Haase, Christine Maheu
Format: Article
Language:English
Published: Pappin Communications 2021-02-01
Series:Canadian Oncology Nursing Journal
Online Access:https://canadianoncologynursingjournal.com/index.php/conj/article/view/1134
Description
Summary:<p class="p1"><strong>Contexte :</strong> La peur de récidive du cancer (PRC) survient couramment chez les survivants du cancer après leur traitement. La présente analyse secondaire explore les commentaires non sollicités de survivants du cancer dans le cadre d’un sondage sur la PRC.</p><p class="p1"><span class="s1"><strong>Méthodologie :</strong> La présente étude a fait appel à la méthode descriptive interprétative et aux analyses statistiques pour explorer les commentaires non sollicités et déterminer les caractéristiques respectives des survivants ayant étoffé leurs réponses et de ceux ne l’ayant pas fait.</span></p><p class="p1"><span class="s1"><strong>Résultats :</strong> Trois thèmes sont ressortis de l’analyse : description de l’expérience post-traitement, approfondissement ou contextualisation des réponses sur la PRC, et expression de la nécessité d’améliorer les soins oncologiques. De façon générale, chez les personnes ayant fourni des commentaires non sollicités, la PRC était moindre. La plupart du temps, les commentaires visaient à contextualiser certaines réponses ou à signaler la non-pertinence de certaines questions.</span></p><p class="p1"><strong>Conclusion :</strong> L’étude met de l’avant, d’une part, diverses raisons expliquant les commentaires non sollicités dans le cadre d’un sondage et, d’autre part, la valeur potentielle de la prise de parole des survivants du cancer. Les résultats témoignent de l’efficacité d’une approche méthodologique mixte qui intégrerait au sondage un espace où les répondants peuvent s’exprimer librement.</p>
ISSN:1181-912X
2368-8076