Celui qui boit, ne pense pas à mal (Comment dire boire et boisson en langage familier et en argot bulgare ?)

Les dernières décennies du XIXe siècle marquent le début des recherches scientifi consacrées aux sociolectes bulgares, notamment aux argots secrets des artisans : maçons, cordonniers, musiciens de la rue, mendiants, petits voleurs. Progressivement, l’intérêt se tourne vers les argots corporatifs des...

Full description

Bibliographic Details
Main Author: Gueorgui Armianov
Format: Article
Language:English
Published: Lodz University Press 2019-12-01
Series:Acta Universitatis Lodziensis: Folia Litteraria Romanica
Subjects:
Online Access:https://czasopisma.uni.lodz.pl/romanica/article/view/6417
Description
Summary:Les dernières décennies du XIXe siècle marquent le début des recherches scientifi consacrées aux sociolectes bulgares, notamment aux argots secrets des artisans : maçons, cordonniers, musiciens de la rue, mendiants, petits voleurs. Progressivement, l’intérêt se tourne vers les argots corporatifs des écoliers et des étudiants des grandes villes et ces sociolectes restent au centre des études jusqu’à nos jours. Toutefois, le vocabulaire argotique relatif aux boissons et à l’action de boire n’a jamais été spécialement étudié en Bulgarie. L’article proposé, qui est basée sur plusieurs ouvrages littéraires et journalistiques, les forums d’Internet et le discours quotidien, examine le vocabulaire de l’argot bulgare relatif aux boissons et à l’action de boire, ses relations avec la langue standard et le langage familier, leurs différences et leurs similitudes. Le vocabulaire analysé est classifié selon son appartenance à une variété spécifique de la langue nationale : langue standard, langage familier et sociolecte ; puis, chaque groupe est organisé selon les caractéristiques lexico-morphologiques des éléments constitutifs : verbes, substantifs ou adjectifs, expressions verbales ou substantivales.
ISSN:1505-9065
2449-8831