Se préfacer soi-même ? Le cas de Baudelaire
Baudelaire a le plus souvent été critique de lui-même par empathie, dans des articles consacrés aux écrivains ou aux artistes qu’il admire et qui entrent en résonnance avec sa propre sensibilité. Après son procès, il a aussi envisagé de préfacer la deuxième édition des Fleurs du mal, en dépit du « m...
Main Author: | |
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Format: | Article |
Language: | fra |
Published: |
Seminario di filologia francese
2018-11-01
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Series: | Revue Italienne d'Etudes Françaises |
Subjects: | |
Online Access: | http://journals.openedition.org/rief/2467 |
Summary: | Baudelaire a le plus souvent été critique de lui-même par empathie, dans des articles consacrés aux écrivains ou aux artistes qu’il admire et qui entrent en résonnance avec sa propre sensibilité. Après son procès, il a aussi envisagé de préfacer la deuxième édition des Fleurs du mal, en dépit du « malentendu » qui l’aurait poussé à ne pas s’expliquer. Dans une des quatre ébauches qui nous sont parvenues, il esquisse cependant une analyse de sa poétique, se laissant tenter par une critique de soi. |
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ISSN: | 2240-7456 |