Adoption du palmier à huile en Côte d’Ivoire

Au cours des années 70 et 80, et en dépit de problèmes fonciers, l’effort de l’État ivoirien pour promouvoir les cultures du palmier et de l’hévéa à travers des projets et des sociétés d’encadrement spécialisées a connu un succès certain [1-5]. Un des intérêts de ces formes d’investissements a été d...

Full description

Bibliographic Details
Main Authors: Naï Naï Serge, Cheyns Emmanuelle, Ruf François
Format: Article
Language:English
Published: EDP Sciences 2000-03-01
Series:Oléagineux, Corps gras, Lipides
Subjects:
Online Access:http://dx.doi.org/10.1051/ocl.2000.0155
Description
Summary:Au cours des années 70 et 80, et en dépit de problèmes fonciers, l’effort de l’État ivoirien pour promouvoir les cultures du palmier et de l’hévéa à travers des projets et des sociétés d’encadrement spécialisées a connu un succès certain [1-5]. Un des intérêts de ces formes d’investissements a été d’apporter du crédit et de l’information aux planteurs, notamment sous forme de matériel végétal, d’engrais et d’encadrement technique. Dans le cas de la filière palmier, information, capital et disponibilité en matériel végétal ont été des facteurs essentiels à l’adoption de cette « nouvelle » culture pérenne.
ISSN:1258-8210
1950-697X