L’action collective des femmes à travers le mouvement social des centres d’amitié autochtones au Québec

Avec une population autochtone urbaine désormais plus nombreuse que la population résidente des communautés territoriales, on assiste à une transformation de la présence citoyenne autochtone dans les villes du Québec. Une partie importante de cette présence collective, dans laquelle les femmes sont...

Full description

Bibliographic Details
Main Authors: Carole Lévesque, Édith Cloutier, Caroline Desbiens, Tanya Sirois, Natasha Blanchet-Cohen, Nathalie Kermoal
Format: Article
Language:fra
Published: Société Recherches autochtones au Québec
Series:Revue d'Études Autochtones
Subjects:
Online Access:https://id.erudit.org/iderudit/1097376ar
Description
Summary:Avec une population autochtone urbaine désormais plus nombreuse que la population résidente des communautés territoriales, on assiste à une transformation de la présence citoyenne autochtone dans les villes du Québec. Une partie importante de cette présence collective, dans laquelle les femmes sont grandement majoritaires, est canalisée à travers l’action et le leadership du mouvement québécois des centres d’amitié autochtones. Cet article vise à retracer le parcours des femmes qui ont donné naissance à ce mouvement et qui en ont continuellement révisé les fondements jusqu’à devenir aujourd’hui un acteur institutionnel incontournable de la scène sociopolitique québécoise et autochtone.
ISSN:2564-4947
2564-4955