Prédicteurs de détresse liée aux symptômes chez les femmes atteintes de cancer du sein durant le premier cycle de chimiothérapie

<p class="p1">Objectifs : Déterminer dans quelle mesure les caractéristiques personnelles et les « facteurs de personnalité » permettent de prévoir la détresse liée aux symptômes chez les femmes atteintes d’un cancer du sein, et ce, durant le premier cycle de chimiothérapie.</p>...

Full description

Bibliographic Details
Main Authors: Marcia M. Boehmke, Jean K. Brown
Format: Article
Language:English
Published: Pappin Communications 2015-05-01
Series:Canadian Oncology Nursing Journal
Online Access:https://canadianoncologynursingjournal.com/index.php/conj/article/view/344
Description
Summary:<p class="p1">Objectifs : Déterminer dans quelle mesure les caractéristiques personnelles et les « facteurs de personnalité » permettent de prévoir la détresse liée aux symptômes chez les femmes atteintes d’un cancer du sein, et ce, durant le premier cycle de chimiothérapie.</p><p class="p1">Devis : prospectif, longitudinal, corrélationnel.</p><p class="p1">Échantillon et milieu : 120 femmes atteintes d’un cancer du sein de stade I et II, sur le point de débuter leur premier cycle de chimiothérapie, ont été recrutées dans six établissements d’oncologie différents.</p><p class="p1">Méthodes : Des questionnaires d’auto-évaluation ont été remplis avant le début, au nadir et à la fin du premier cycle de chimiothérapie.</p><p class="p1">Principales variables de recherche : caractéristiques personnelles, facteurs de personnalité et détresse liée aux symptômes.</p><p class="p1">Observations : L’optimisme et le locus de contrôle externe prédisent des degrés faibles de détresse liée aux symptômes et ce, au nadir et à la fin du premier cycle. La fatigue, la modification de l’aspect physique et l’insomnie causent la plus grande détresse, les résultats de détresse liée aux symptômes les plus élevés ayant été signalés au nadir, avec un résultat moyen de 1,98 sur l’échelle de Likert en 5 points.</p><p class="p1">Conclusions : Les femmes qui conservaient un bon moral et faisaient confiance à leurs prestataires de soins éprouvaient des degrés moindres de détresse liée aux symptômes. Les résultats révèlent que la plupart des femmes ressentaient une certaine détresse liée aux symptômes, particulièrement au milieu du premier cycle de chimiothérapie.</p>
ISSN:1181-912X
2368-8076