“…Qu’il s’agisse d’une remédiation
vidéo-ludique de l’expérience catastrophiste (via l’interface du jeu
vidéo), d’une virtualisation du paysage cataclysmique (via l’imagerie de
synthèse – ou le CGI – au cinéma) ou de la mise en circulation de scènes de dévastation (via la mobilité du dispositif portable), nombreux sont les appareils médiatiques actuels qui contribuent de la sorte à composer une nouvelle iconosphère du désastre susceptible, entre autres, de redéfinir les lieux d’émergence de l’espace traumatique. …”
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